Advertisement
Le 17 janvier 2020 à 17h08
par Maxime Pasture
Experts associés :

#WeAreMobility Inspiring Talks : pour rappeler qu’il s’agit aussi d’un Salon de la mobilité

Le 16 janvier dernier, en « plein milieu » du Salon de Bruxelles, la Febiac a réuni différents experts afin d’avancer des pistes pour améliorer encore et toujours notre mobilité. Quoi de plus logique car en 2020, on parlait bien de Salon de l’auto, de la moto ET de la mobilité.

Ouvrir le débat entre experts sur la mobilité, début janvier, dans le cadre du Salon de l’auto, de la moto et… de la mobilité, était une excellente idée. Car en 2020, peut-être encore un peu plus qu’en 2019, cette fameuse mobilité s’apparente toujours à un vrai casse-tête. De nombreux médias et spécialistes parlent de l’année de l’électrification et c’est bien vrai. Car l’Europe a imposé des quotas de CO2 aux constructeurs qui, s’ils les dépassent, seront lourdement pénalisés. Il n’ont donc pas d’autre choix que de commercialiser des véhicules 100% électriques ou, au minimum, électrifiés. Mais faut-il encore se poser les bonnes questions : la fiscalité est-elle prête ? Les infrastructures sont-elles suffisantes pour développer un parc automobile vert ? Mais sortons du cadre automobile, comme l’a très justement fait la Febiac en organisant son forum.

« Ma mobilité, ma liberté »

Il était articulé selon les thématiques suivantes : « Nobody is too big to fail » ; « How complex is change ? » ; « Ecosystem as a key for change », avec, comme cas pratiques évoqués, la dernière étude concernant la mobilité réalisée par Deloitte mais aussi la stratégie de la ville d’Anvers, sûrement l’une des villes les plus « smart » de Belgique.

Qu’en retenir ? Que la Febiac participe très activement au débat sur la mobilité, en essayant de proposer des solutions concrètes. La fédération belge de l’automobile et du cycle (qui aujourd’hui est, selon nous, bien plus que cela) remplit donc sa mission. Car en invitant des experts de qualité, on a pu sortir de la « bulle automobile » en apprenant comment le cerveau humain pouvait aborder – ou plutôt appréhender – le changement, mais aussi que les milliards de données (le big data) enregistrées par les nombreux objets que nous utilisons au quotidien (« the Internet of things ») pouvaient révolutionner notre mobilité et surtout, l’améliorer. Car le principe de « ma voiture, ma liberté » a bel et bien évolué en « ma mobilité, ma liberté ».

Voilà pourquoi link2fleet développera dans les prochains jours différents thèmes abordés lors du forum #WeAreMobility. Car pour link2fleet aussi, l’une des priorités est de vous informer afin d’optimiser votre mobilité et celle de vos collaborateurs.

Maxime Pasture

Maxime Pasture, rédacteur de cet article

Journaliste de formation, Maxime est très curieux mais surtout passionné d'automobile. Sa curiosité l'amène à traiter de sujets divers et variés liés à la mobilité au sens large et bien plus encore !
Cet article parle de : Actus , Mobilité , Flex-offices
Experts associés :

Articles similaires